Cette chasse connaît cependant un déclin à partir du XIIIe siècle, en raison d'un refroidissement climatique qui modifie l'aire de distribution des baleines, ce qui force les Inuits à se tourner vers d'autres proies. Les Inuits de la côte du Labrador sont toutefois moins touchés par ce phénomène et, à l'époque de la Nouvelle-France, accordent toujours une place significative à cette activité. Plus au nord, la subsistance repose sur la chasse aux petits mammifères marins, comme le phoque, que les Inuits chassent durant l'hiver, alors qu'il se présente à ses trous de respiration.
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